Homo Natura: nous sommes la nature. Notre civilisation technologique l’aurait-elle oublié? Plaidoyer pour une redistribution des rôles et des responsabilités plus équitables.
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Jeudi 25 août 2017, 9H, atelier « Porter la post-croissance face au productivisme ».
Restitution vidéo d’une partie des forums, débats, conférences et tables rondes des journées d’été des écologistes à Dunkerque, en 2017.
Le dérèglement climatique est devenu une réalité. Les solutions à apporter dessinent de nouveaux clivages entre ceux qui croient à la croissance verte et ceux qui remettent en question une société fondée sur la croissance. À court terme, une décroissance subie ou anticipée. À long terme, le nouvel équilibre d’une société post-croissance.
by admin with no comments yetQu’en est-il du constat sur la perte de biodiversité, de l’impact sur notre équilibre ?
Le 10 mai 2017, SOL m’a accueilli avec Noël Mamère, journaliste, documentariste et homme politique français engagé sur les questions environnementales. Depuis toujours, la biodiversité, la richesse et l’équilibre des écosystèmes sont essentiels pour notre propre vie, pour la capacité de notre espèce à pouvoir perdurer. Menacée par l’activité humaine depuis de nombreuses années, ces équilibres précaires subissent des impacts de plus en plus intenses et rythmés. Pourtant des solutions ont déjà été réfléchies et pensées mais qu’en est-il de leur mise en œuvre? Comment créer un cadre pour préserver notre Terre, notre santé?
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Plénière d’ouverture d’EELV aux journées d’été 2017 sur le thème « écologie et politique : quel avenir ? » avec David Cormand, secrétaire national d’EELV – Eric Piolle, maire de Grenoble – Benoît Hamon, candidat à l’élection présidentielle – Valérie Cabanes, porte parole d’End Ecocide on Earth – Marie Pierre Vieu, députée européenne communiste – Clémence Dubois, chargée de campagne pour 350.org
En réponse aux interventions de professionnels de la politique, j’interviens en conclusion de ce débat sur le principe de souveraineté nationale, frein à l’humanisme et à la protection du vivant, la démocratie locale et participative pour faire vivre la transition dans les faits et les droits de la nature comme norme supérieure à revendiquer et à faire respecter par les États et les multinationales.
Puis je réponds à deux demandes de précisions de la part de David Cormand à 2:00:00
Émission Les lanceurs d’alerte de Claire Nouvian sur France Inter du 19 août 2017
avec Valérie Cabanes et Dominique Bourg
En 2014, 116 activistes écologistes étaient assassinés en défendant l’environnement. Des crimes non seulement restés impunis mais souvent commis avec la complicité des Etats.
Le seul tort de ces nouveaux défenseurs de la Terre ? Tenter d’empêcher des multinationales de détruire des écosystèmes remarquables et ancestraux, dans leur quête de nouveaux minerais ou de nouvelles ressources à exploiter.
Droits humains = droits de la nature
Une grande partie des victimes sont des peuples autochtones, comme les Indiens Guarani au Brésil, qui tentent en vain de s’opposer à la spoliation et la destruction de leur lieu de vie, d’histoire, d’enracinement…
Aujourd’hui, défendre les droits de l’homme revient bien souvent à défendre les droits de la Terre. Or, la nature n’a pas de droits. Les cours d’eau, les arbres, les océans, les animaux sont dénués de statut juridique. Pour défendre la biosphère, il faut nécessairement démontrer les impacts de la destruction ou de la pollution de l’environnement sur les humains.
by admin with no comments yetParu le 19 octobre 2017 chez Buchet-Chastel
avec en guise de préface : quelques lignes offertes par Edgar Morin, parce que les idées exprimées dans ce livre entrent en résonance avec celles qu’il défend.
4e de couverture: Grâce à des conditions climatiques favorables et à des milieux de vie fertiles et foisonnants de biodiversité, nous avons prospéré pendant des millénaires. Toutefois, depuis deux siècles nous avons malmené l’écosystème qui nous abrite et nous nourrit car nous évoluons comme hors-sol, isolés du reste du vivant, oubliant que nous sommes des êtres de nature.
Nous devons réapprendre, à l’image des peuples premiers, notre rôle de gardiens. Nous devons retrouver le chemin d’une cohabitation harmonieuse avec les arbres, les plantes et les animaux mais aussi entre nous. Cette démarche exige de baisser nos armes économiques, de questionner notre rapport à la propriété, de limiter la souveraineté des États, de repenser la démocratie. Elle impose enfin de reconnaître que la nature a le droit d’exister et de se régénérer. C’est ainsi que nous pourrons garantir aux générations futures le droit à vivre dans un environnement sain et pérenne.
La FOIRE BIO GENEPI aura lieu les 9 et 10 septembre à Embrun.
Conférence le 10 septembre à 15h : Pour des modes de gouvernance écosystémiques, en harmonie avec le vivant.
Implantée dans un département — les Hautes-Alpes — qui possède de réels atouts dans le domaine de l’écologie, la Foire Bio Génépi est née en 1998 d’une envie collective d’impulser et développer une économie liée à ce thème. Permettre une meilleure connaissance de notre environnement, et favoriser les activités qui le respectent, tout en s’instruisant et s’amusant, tel est l’objet de cette manifestation.
Retrouvez le programme complet ici : http://genepi-foire-bio.com/?Programme
Jeudi 24 août 11h : Plénière – Écologie et politique: quel avenir?
A la suite de la campagne présidentielle et des législatives durant lesquelles la thématique de l’écologie était quasiment absente, il semble essentiel de se questionner sur les liens entre écologie et politique. Ainsi, à l’occasion de cette plénière, nous tenterons d’évaluer comment mettre l’écologie au coeur du débat politique, avec des personnalités et associations environnementalistes et écologistes.
Intervenants: David Cormand, secrétaire national d’EELV, Eric Piolle, maire de Grenoble, Benoit Hamon, candidat à l’élection présidentielle, Valérie Cabanes, Marie-Pierre Vieu, membre du Parti Communiste, députée européenne, Clémence Dubois, chargée de campagne pour 350.org
Vendredi 25 août 9h : Forum – Porter la post-croissance face au productivisme
(Salle La Vigie)
Le dérèglement climatique est devenu malheureusement une réalité qui n’est plus l’objet de débat. Mais ce sont les solutions à apporter qui dessinent de nouveaux clivages, entre ceux qui croient à la croissance verte et ceux qui remettent en question une société fondée sur la recherche de croissance. A court terme, la décroissance sera subie ou anticipée, à nous de choisir. A long terme, de nouveaux équilibres dessineront une société post-croissance.
Inscriptions : https://inscription.eelv.fr/
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En menant des politiques climaticides, comme la relance de l’industrie du charbon, le président des États-Unis viole des principes du droit international. Une saisine juridique aurait un effet positif en obligeant les États du monde entier à lutter contre le changement climatique.
Notre tribune dans Reporterre du 7 juillet 2017, par Valérie Cabanes, porte-parole de End Ecocide on Earth ; Emmanuel Poilâne, directeur de la Fondation France-Libertés ; Marie Toussaint, présidente de Notre affaire à tous.
Extrait : En sortant de l’Accord de Paris, le président des États-Unis ne casse pas seulement une dynamique diplomatique majeure : il viole les principes du droit international. La Charte des Nations unies, à laquelle les États-Unis ont adhéré, établit comme objectif de « créer les conditions nécessaires au maintien de la justice et du respect des obligations nées des traités et autres sources du droit international ». Or, le changement climatique est une menace aux droits fondamentaux des citoyens du monde, il amplifie les inégalités et constitue de ce fait une menace à la paix. Toute politique anticlimatique menée de par le monde érode la capacité des États à protéger leurs populations et met, en définitive, en danger la survie de l’humanité tout entière.
De plus, l’émergence du droit international de l’environnement, dans ses grands principes traduits dans les Déclarations de Rio et de Stockholm, au sein des traités contraignants déjà adoptés, ou dans sa jurisprudence, établit la responsabilité des États vis-à-vis de l’environnement global et des communs planétaires. Si les outils pour rendre cette affirmation contraignante manquent encore, si nul n’a encore osé franchir le pas de « pénaliser » les atteintes graves à la nature, le principe juridique qui devrait empêcher Donald Trump de mettre à mal toute la politique environnementale de son pays existe.
by admin with no comments yetVous pouvez vous inscrire ici pour accéder aux vidéos version conférence des 35 intervenants du sommet. Vous recevrez toutes les informations en temps voulu (fin septembre).
Une production d’Itinérance Films :
www.itinerance-films.fr