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    • Sep 19thTrès profitables et impunis, les crimes environnementaux se multiplient

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      Par Mathilde Golla Publié le 18/09/2015 à 18:48

      COP21 – Commerce d’espèces sauvages, pêche illégale, trafic de déchets toxiques… La criminalité environnementale est en plein essor. Un projet défendu lors de la Conférence climat, qui s’ouvre en novembre à Paris, veut renforcer l’arsenal juridique international.

      «Détruire l’environnement global, menacer la sûreté de la planète est une atteinte aux droits fondamentaux de l’homme et devrait être considéré comme un des crimes internationaux les plus graves, à l’image du génocide ou du crime contre l’humanité», lance Valérie Cabanes, co-auteur de Crime Climatique, Stop ! et porte-parole d’End Ecocide on Earth. La juriste en droit international demande ainsi à plusieurs pays de porter la proposition d’amendements sur le crime d’écocide – les crimes menaçant la sûreté de la planète via une industrialisation forcenée – auprès de Ban Ki Moon, secrétaire général des Nations Unies, lors de la COP21 qui débutera le 30 novembre prochain.

      De fait, les crimes contre la planète sont de plus en plus nombreux. Les professionnels du crime organisé se tournent massivement vers l’environnement pour trouver de nouvelles sources de revenus. Les braconniers tuent en masse les rhinocéros pour leur corne et les éléphants pour leur ivoire, le commerce illicite d’espèces sauvages ne cesse de se développer tout comme la pêche illégale ou le trafic de déchets toxiques. Au point que la criminalité environnementale est désormais classée au quatrième rang mondial des commerces illicites après les stupéfiants, la contrefaçon et le trafic des êtres humains.

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        Un Droit pour la TerreValérie Cabanes

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